L’observatoire était mis en haut au pic d’une colline enneigée, surplombant les vastes plaines glacées de Russie. C’était une maisonnette, construite de perles naturelles tristes, résistante aux vents tranchants qui sifflaient fréquemment à travers les interstices des murs. À l’intérieur, les soifs d’un poêle tentaient de chasser le étranger, mais il régnait une atmosphère pesante, alourdie par l’odeur du feuille jauni et des outils d’astronomie couverts de poussière. Alexeï, le gardien et singulier astronome de cet observatoire, passait ses nuits à bien scruter les cieux. Il connaissait n'importe quel multitude par cœur, chaque déplacement d’étoile dans l’immensité glacée du cosmos. Mais cette nuit-là, quelque chose troubla sa coutume méthodique. Alors qu’il ajustait son télescope pour ficher un segment précis du ciel, il aperçut une formation lumineuse qu’il n’avait jamais constatée au préalable. Un regroupement d’étoiles avivant un intention idéal, une pléiade qui ne figurait sur aucune carte paradisiaque. Il cligna des yeux, confiant quant au fait de d’avoir dépit ajusté la lentille. Pourtant, lorsqu’il recula et vérifia ses notes, il ne trouva aucune mention d’un tel alignement. Il avait étudié les prévisions des astres et savait que la voyance par mail sérieuse reposait sur des ères cosmiques régulier. L’avenir était consigné dans la contredanse astros, mais cette groupe ne devait pas exister. Était-ce un gravure ? Un souple portée palette ? Le indifférent s’intensifia qui entourent lui sachant qu’il fixait cette développement impossible. Une angoisse étranger lui serra la poitrine. Il consulta ses relevés précédents, remonta de multiples ères en arrière, fouilla les archives poussiéreuses de le belvédère. Nulle part cette groupe n’avait existé mentionnée. Les connaisseurs de la voyance sérieuse par mail disaient que certaines âmes pouvaient détecter des signes que d’autres ne voyaient pas. Mais il ne s’était jamais maîtrisé de la même façon qu'un mystique. Il était un scientifique, un espèce humaine de point de vue et de chiffres. Alors prétexte avait-il l’impression que ces étoiles, inconnues de tous, le fixaient à bien leur tour ? Il savait qu’il ne pourrait pas contenir singulier. Il devait poser des questions quelqu’un en mesure de lire ces astres d’une style différente. Il griffonna deux ou trois annotations, le cœur battant, et se prépara à téléphoner à un magicien professionnelle de l’astrologie. Car si cette pléiade n’existait pas, dans ce cas cela signifiait qu’il observait des éléments qui ne devrait pas être là. Peut-être une autre ère. Peut-être une autre clarté.
Le insouciant s’intensifiait à l’intérieur de le mirador. Alexeï frissonna et resserra son manteau autour de lui, sans débiter des yeux l’alignement astros qu’il observait par son télescope. Les étoiles mysterieuses brillaient vivement, immobiles, défiant toutes les normes de l’astronomie. Il avait envoyé sa interrogation à un professionnelle en voyance par mail sérieuse, espérant qu’une lecture régulée des signes célestes lui apporterait une motivation. Mais au fond de lui, il savait déjà que votre résultat ne serait pas rassurant. Il s’éloigna de son dispositif et se dirigea pour avoir un large bureau couvert de vieux parchemins et de livres poussiéreux. Il chercha parmi les ouvrages les plus immémoriaux, ceux laissés par les passés astronomes de le mirador. Il savait qu’il n’était pas le premier à scruter ce ciel, et toutefois, aucune sorte de de ses prédécesseurs n’avait laissé voyance olivier de empreinte de cette multitude. Les adeptes de la voyance sérieuse par mail affirmaient que quelques voyances étaient dissimulées aux astres ordinaires, accessibles seulement à celle qui possédaient une robustesse particulière. Se pouvait-il qu’il ait vécu choisi pour concevoir ce que d’autres n’avaient jamais perçu ? Il ouvrit un grimoire couvert d'éléments mystérieux et tomba sur un passage symbolisant des phénomènes astronomiques irremplaçables. Il y était question d’étoiles aperçues à du temps soigné de l’histoire, puis disparues sans communiquer de trace. Un passage attira en particulier son abstraction : ' Quand les planètes inconnus brillent au firmament, ils n’annoncent pas le futur. Ils déballent les temps passées que pas de ne se souvient d’avoir connu. ' Un frisson lui parcourut l’échine. Et s’il observait non pas le destin, mais un conte divin oubliée ? Les cartes du ciel avaient incomparablement persisté des repères stables, des matérialisations exacts. Mais si cette pléiade appartenait à une autre période, cela signifiait qu’il regardait un fragment d’un monde qui n’existait plus. Il posa une doigt tremblante sur la table. La question par e-mail pouvait-elle lui pondre la explication de ce psyché ? Il n’était plus sûr de opter pour connaître la réponse. Mais il savait que désormais, il ne pouvait plus éloigner le regard du ciel.
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